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Émission enregistrée le 17 mars 2022 à l’Université Libre de Bruxelles. Merci à Margaux van Uytvanck et Maxime Jottrand pour l’organisation de l’enregistrement.
Les invité-e-s :
- Pieter Lagrou, professeur à l’ULB
- Amandine Lauro, chercheuse au FNRS
La discussion :
- Introduction (00:00)
- Les études d’histoire de Pieter Lagrou et Amandine Lauro (1:00)
- L’internationalisation des carrières, condition devenue naturelle pour faire de l’histoire en Belgique (3:00)
- Un paysage universitaire encore marqué par la division entre établissements catholiques et « libres » (6:30)
- Une évolution parallèle avec celle de l’université française, avec précarité et recherches sur projet (7:30)
- Une historiographie au contact des traditions universitaires allemande et française (10:40)
- Le paysage éditorial belge francophone: éditeurs, revues… (13:00)
- Un monde universitaire avec très peu de chercheurs (17:00)
- Le clivage linguistique français / néerlandais et ses origines (19:20)
- Le bilinguisme en pratique et dans les cursus (24:50)
- Un clivage linguistique qui n’a paradoxalement pas de traduction historiographique (30:00)
- Un clivage à nuancer par l’histoire locale et celle des identités régionales (32:05)
- L’essor de l’histoire coloniale en Belgique (36:05) et les débats publics qui l’accompagnent (38:30)
- Le rôle public des historiennes et des historiens en Belgique (41:00)
- Qu’est-ce qui fait consensus dans le paysage historique belge ? (48:00)
Les conseils de lecture :
- Jennifer Richards, Il est à toi ce beau pays
- Sophie de Schaepdrijver, De Groote Oorlog (NB contrairement à ce qui a été dit dans l’émission, l’ouvrage existe en traduction française : La Belgique et la Première Guerre mondiale, Peter Lang, 2004)
- série d’émissions Statues contestées
Bonjour,
Émission très intéressante sur “faire de l’histoire en Belgique”. Je m’intéresse depuis longtemps à ce pays (je suis également historien) et il est vrai qu’en France la méconnaissance sur notre voisin septentrional est abyssale… L’inverse n’est pas vrai.
J’écoute régulièrement vos émissions sur des sujets éclectiques et j’apprécie votre manière de les conduire. Je vous avais rencontré il y a longtemps pour une conférence au lycée franco-allemand de Buc après l’obtention d’un prix littéraire sur la Première Guerre mondiale.
Bien à vous,
Serge Ruellan