246. Biographie d’un livre d’histoire au XIXe siècle, avec Jean-Charles Geslot

L’invité : Jean-Charles Geslot, MCF à L’Université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines

Le livre : Histoire d’un livre. L’Histoire de France de Victor Duruy, Paris, CNRS éditions, 2022.

La discussion :

  • Introduction (00:00)
  • Pourquoi faire la biographie d’un livre ? (1:30)
  • Qui est Victor Duruy en 1857 ? (3:15)
  • Duruy, entre Michelet et Lavisse (4:55)
  • Où en est le genre « Histoire de France » à ce moment ? (7:30)
  • Les historiens romantiques et le recours aux documents: les débuts d’une histoire scientifique ? (9:50)
  • La rigueur discutable de Victor Duruy pour ses notes de bas de page et ses références (13:15)
  • Quel est le quotidien d’un historien au milieu du XIXe siècle ? (14:35)
  • Qui a écrit l’Histoire de France ? Le rôle des femmes d’historiens au XIXe s. (19:00)
  • Une Histoire de France pas si stéréotypée, et pas très monarchique (19:50)
  • Le XIXe siècle, sujet sensible politiquement (24:00)
  • Faire l’histoire d’un livre qui serait comme le « Pinagot » des ouvrages historiques (27:00)
  • Les difficultés de l’enquête, les apports et limites des sources (29:45)
  • À quoi ressemble matériellement ce livre ? (32:35)
  • Les multiples formes et déclinaisons du livre au XIXe siècle (35:00)
  • Des éditions pirates (37:00)
  • Le contrat chez Hachette avec des droits d’auteur très importants (38:25)
  • Un livre qui se vend bien quand l’historien est ministre… (39:50)
  • Lenteur et complexité de la composition typographique (43:00)
  • Diffusion coloniale et mondiale du livre (45:00)

Les conseils de lecture :

  • Camille Creyghton, Résurrections de Michelet, Paris, EHESS, 2019.
  • Nathalie Richard, La Vie de Jésus de Renan. La fabrique d’un best-seller, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », 2015.

243. Faire de l’histoire en Belgique, avec Pieter Lagrou et Amandine Lauro

Émission enregistrée le 17 mars 2022 à l’Université Libre de Bruxelles. Merci à Margaux van Uytvanck et Maxime Jottrand pour l’organisation de l’enregistrement.

Les invité-e-s :

  • Pieter Lagrou, professeur à l’ULB
  • Amandine Lauro, chercheuse au FNRS

La discussion :

  • Introduction (00:00)
  • Les études d’histoire de Pieter Lagrou et Amandine Lauro (1:00)
  • L’internationalisation des carrières, condition devenue naturelle pour faire de l’histoire en Belgique (3:00)
  • Un paysage universitaire encore marqué par la division entre établissements catholiques et « libres » (6:30)
  • Une évolution parallèle avec celle de l’université française, avec précarité et recherches sur projet (7:30)
  • Une historiographie au contact des traditions universitaires allemande et française (10:40)
  • Le paysage éditorial belge francophone: éditeurs, revues… (13:00)
  • Un monde universitaire avec très peu de chercheurs (17:00)
  • Le clivage linguistique français / néerlandais et ses origines (19:20)
  • Le bilinguisme en pratique et dans les cursus (24:50)
  • Un clivage linguistique qui n’a paradoxalement pas de traduction historiographique (30:00)
  • Un clivage à nuancer par l’histoire locale et celle des identités régionales (32:05)
  • L’essor de l’histoire coloniale en Belgique (36:05) et les débats publics qui l’accompagnent (38:30)
  • Le rôle public des historiennes et des historiens en Belgique (41:00)
  • Qu’est-ce qui fait consensus dans le paysage historique belge ? (48:00)

Les conseils de lecture :

  • Jennifer Richards, Il est à toi ce beau pays
  • Sophie de Schaepdrijver, De Groote Oorlog (NB contrairement à ce qui a été dit dans l’émission, l’ouvrage existe en traduction française : La Belgique et la Première Guerre mondiale, Peter Lang, 2004)
  • série d’émissions Statues contestées

 

 

232. Choisir son cursus d’histoire sur Parcoursup

Les invitées :

  • Joelle Alazard professeure d’histoire en Classes préparatoires littéraires au lycée Louis-le-Grand à Paris
  • Carole Christen, professeure d’histoire contemporaine à l’université Le Havre-Normandie

La discussion :

  • Introduction (00:00)
  • L’intérêt des études d’histoire (2:00)
  • Les classes préparatoires littéraires (3:30)
  • Une pluridisciplinarité qui progresse à l’université (4:40)
  • Le système « LMD » et « ECTS » (5:40)
  • Des enseignements plutôt généralistes en 1e année et une spécialisation ultérieure (8:15)
  • Les profils d’élèves pour ces études ; la « spécialité » du bac, pas un critère majeur, au contraire du rapport à la lecture (9:50)
  • Les classes préparatoires et l’université, des différences de style d’encadrement et de rythme (12:30)
  • Hypokhâgne / khâgne, A/L et B/L, Ulm et Lyon : le système complexe des classes préparatoires (14:30)
  • L’école des chartes et les formations qui y préparent (16:45)
  • Les différentes modalité d’intégration aux différents « Sciences-Po » (18:45)
  • Bien se documenter pour ne pas arriver dans une formation qui ne correspond pas (21:20)
  • Les aspects sociaux : concilier études et job étudiant ; frais d’inscription faibles ou élevés (22:40)
  • Les aspects géographiques : faire ses études près de chez soi ou plus loin (24:30)
  • L’école du Louvre (27:00)
  • Les doubles licences (27:40)
  • Les concours pour devenir prof d’histoire (29:30)
  • Les masters et parcours professionnalisants : archives, patrimoine, journalisme, management… (31:50)
  • Les concours de la fonction publique (34:20)
  • Derniers conseils : lire, nourrir sa curiosité, discuter (38:00)

Ressources et liens web :

  • Prepaslitteraires.fr
  • Onisep
  • Asso des archivistes fr

230. Ernest Labrousse, directeur de thèse, avec Michelle Perrot

L’invitée: Michelle Perrot

Le sujet: faire sa thèse avec Camille-Ernest Labrousse (1895-1988) dans les années 1960

Pour prolonger la discussion:

Michelle Perrot, Les ouvriers en grève, Paris-La Haye, Mouton, 1974

Biographie d’Ernest Labrousse (site Maitron)

Entretien avec Ernest Labrousse, par Christophe Charle

220. L’archéologie en questions, avec Anne Lehoërff

L’invitée : Anne Lehoërff, archéologue, professeure à CY université, présidente du CNRA

Le livre : Dictionnaire amoureux de l’archéologie, Paris, Plon, 2021.

La discussion :

  • Comment le dictionnaire a été conçu et comment il a été écrit (1:20)
  • Un livre sur la dimension personnelle de l’archéologie, et le rapport aux matières telles que le bronze, la céramique… (2:45)
  • L’importance de considérer tout le passé humain, et donc de mettre à distance le concept de « (grande) civilisation » (4:35)
  • Qu’est-ce qu’une civilisation « moins visible » ? (6:20)
  • L’exemple des trous de poteaux (7:00)
  • La question d’une évolution « linéaire » des sociétés humaines (7:45)
  • Quels sont les sous-entendus idéologiques des gens qui présentent des vestiges archéologiques comme extra-terrestres ? (10:00)
  • Les changements de la discipline archéologique, depuis l’époque d’un « patron » sur « son » chantier (12:00) ; la sensibilisation à la question des violences ou des abus sexuels (14:00)
  • Les atteintes aux matériaux archéologiques par les détectoristes ou les pilleurs (15:00) mais aussi au moment de la fouille ou de la découverte (exemple d’Ötzi, 16:00)
  • La part du hasard dans la découverte archéologique (19:00)
  • Les rapports entre histoire et archéologie (22:00)

Questions des auditrices et des auditeurs

  • « Comment mieux intégrer l’archéologie dans les cours au secondaire, et ce, pas seulement pour les (rares) cours d’antique restants? » (26:30)
  • « On parle souvent du rôle des engrais (acidifiant ou alcalinisant) dans la détérioration des artefacts et je me demandais si c’est vraiment un pbm ou si c’est anecdotique ? » (28:00) Plus largement, la préservation exceptionnelle d’artefacts dans des milieux extrêmes (30:00)
  • « Est-ce qu’on sait de combien d’animaux étaient composées les fermes néolithiques, et de quelle espèce : mouton, cochon, chèvres, vaches ; ou tout ensemble ? » (31:00)
  • « L’archéologue, du fait des matériaux étudiés, doit-il fait preuve d’une plus grande imagination que son collège historien pour déterminer la vérité historique ? » (32:00)
  • « À quel point Indiana Jones est éloigné du métier d’archéologue ? » (34:20)
  • « L’archéologue est-il confronté à un dilemme moral lorsqu’il ouvre une tombe (respect des morts) et lorsqu’il prélève de l’ADN (respect de l’intégrité du corps) ? » (36:20)
  • « Existe-il un changement de paradigme, postcolonial, du domaine ? Que faire avec les œuvres trouvées et qu’en est-il de leur lien avec le lieu où elles sont découvertes ? » (39:00)
  • « Selon vous, qu’est-ce qui fait un bon musée ou une bonne exposition archéologique ? » (40:15)
  • « Existe-t-il encore beaucoup de sites à fouiller en Europe occidentale ? » (42:00)
  • « Est-ce qu’on va trouver un jour un moustique dans de l’ambre pour faire Jurassic park ? »

Le conseil de film : The Dig (Simon Stone, 2021)

217. Le travail des historien-ne-s, avec Etienne Anheim, Manon Pignot et Catherine Rideau-Kikuchi

Émission enregistrée en public le dimanche 10 octobre 2021 aux Rendez-vous de l’histoire de Blois

Les invité-e-s :

  • Etienne Anheim, directeur d’études à l’EHESS et des éditions de l’EHESS
  • Manon Pignot, MCF HDR à l’Université de Picardie
  • Catherine Rideau-Kikuchi, MCF à l’Université de Versailles Saint-Quentin

La discussion :

  • Pourquoi étudier le travail de l’historienne et de l’historien ? (1:00)
  • Les RDV de l’histoire de Blois, du travail ? (4:00)
  • Le marché du travail de l’histoire savante et la raréfaction des postes (6:15)
  • Les effets de cette concurrence sur le travail intellectuel (9:30)
  • La conjoncture difficile depuis les années 2010 (12:30)
  • Comment faire exister une communauté savante malgré les clivages entre titulaires et précaires (14:00), malgré les difficultés des enseignants du secondaire (17:30)
  • La tension entre enseignement et recherche (20:00)
  • La lourdeur des tâches administratives (24:00)
  • Des compétences techniques spécifiques qu’il faut développer (31:00)
  • La part de travail invisible des universitaires (32:30)
  • Recensions, expertises (34:00)
  • L’autonomie des universitaires, enjeu politique (35:30)
  • Où en est le rapport hommes / femmes dans la profession historienne ? (39:00)
  • Les soutiens masculins aux combats féministes, et les façons de les prolonger (51:00)
  • Les joies que procure le métier (55:00)
  • Le paradoxe des métiers à passion, épanouissants et parfois aliénants (59:20)
  • (questions du public)
  • D’autres tâches : écriture de manuels, traduction… (1:01:00)
  • Les déséquilibres géographiques entre Paris et province (1:07:50)
  • Les difficultés de collègues du secondaire pour faire une thèse (1:11:00)
  • Ce que la pandémie a changé en termes d’accès (numérique) à des séminaires et des colloques (1:16:00)
  • Peut-on se lasser de son sujet de recherche (et en changer) ? (1:20:00)

216. Écrire son parcours de recherche, avec Claire Zalc

L’invitée : Claire Zalc, directrice de recherche au CNRS, et directrice d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)

Le livre : Z ou souvenirs d’historienne, Paris, éditions de la Sorbonne, 2021.

La discussion :

  • Un genre relativement nouveau, l’autobiographie scientifique, écrite au départ pour une HDR (1:00)
  • Un texte écrit fin 2015, publié en 2020, et traversé par la question du présent et de l’historicité de l’historienne (4:00)
  • Un texte construit en écho à celui de Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance (7:45)
  • Une dimension ludique, y compris et surtout dans le travail quantitatif (11:00)
  • La dimension infra-ordinaire du métier (13:15)
  • L’enquête menée autour de Lens, et ses points de départ (15:15)
  • Un terrain qui conduit à aborder la Seconde Guerre mondiale (19:00)
  • Un processus d’écriture à deux avec Nicolas Mariot (21:30)
  • Un travail commun d’archives (26:20)
  • Parmi les questions structurantes de l’enquête : qu’est-ce qu’être Juif et comment sont fixées les identités ou limites des groupes (29:00)
  • La quantification comme outil (31:20)
  • Les difficultés de la publication et de la réception (32:00)
  • Les prolongements de l’enquête et les nouvelles questions posées (35:20) dont le travail sur la micro-histoire de la Shoah (37:30)
  • Le projet Lubartworld et ses enjeux (39:00), un projet de recherche avec ses contraintes particulières (41:00)

Les références citées dans l’émission :

  • Alain Dewerpe, Charonne, 8 février 1962 : anthropologie historique d’un massacre d’État, Paris, Gallimard, 2006
  • Ivan Jablonka, Histoire des grands-parents que je n’ai pas eus. Enquête, Paris, Seuil, 2012.
  • Daniel Mendelsohn, Les Disparus, Paris, Flammarion, 2007.
  • Nicolas Mariot et Claire Zalc, Face à la persécution. 991 Juifs dans la guerre, Paris, Odile Jacob, 2010.
  • Claire Zalc, Tal Bruttmann, Ivan Ermakoff, Nicolas Mariot (Éd.), Pour une micro-histoire de la Shoah, Paris, Seuil, 2012.

215. Les Annales, tournant réflexif, avec Vincent Azoulay, Camille Lefebvre et Antoine Lilti

 

Les invité-es : Vincent Azoulay, Camille Lefebvre et Antoine Lilti, directeur et membres du comité de rédaction des Annales, Histoire, Sciences sociales

Le numéro : Autoportrait d’une revue (Annales Histoire, Sciences sociales, 75/3-4, 2020). Voir les compléments de lecture en ligne.

La discussion :

  • L’esprit de ce numéro « autoportrait », ni bilan ni programme, qui cherche à faire le point sur les évolutions de la revue (1:45)
  • Le choix d’articles tous écrits de façon collective (6:00)
  • Un numéro pensé de façon cohérente, ce qui se complique à l’heure de la lecture en ligne article par article (7:45)
  • Une tonalité réflexive et parfois autocritique (11:15)
  • Un effort d’objectivation statistique de ce que publient les Annales (17:00) et de qui compose son comité (19:00)
  • Retour sur un épisode important dans la vie de la revue, le « tournant critique », à la fin des années 1980 (20:00) et le rôle joué par Bernard Lepetit (25:00)
  • L’ouverture plus récente de la revue à des aires culturelles non européennes (28:00)
  • Le trajet d’un texte soumis à la revue (33:00)
  • L’enjeu important de la traduction en anglais désormais intégrale (37:45)
  • L’importance du travail éditorial dans la production du savoir (42:00)
  • Discussion sur un passage de la revue portant sur le rapport histoire / littérature (46:00)
  • Quel rapport au présent et au politique dans une revue savante ? (50:00)

169. Vies posthumes de Michelet, avec Camille Creyghton

L’invitée: Camille Creyghton, assistant professor à l’université d’Utrecht

Le livre: Résurrections de Michelet, Politique et historiographie en France depuis 1870, Paris, éditions de l’EHESS, 2019.

La discussion:

    • Comment une chercheuse néerlandaise s’empare de Michelet (2’)
    • Le sens du titre : « résurrections » de Michelet (5’)
    • Le conflit de succession à la mort de Michelet et le rôle de sa veuve Athénaïs Mialaret  (8’)
    • La sous-estimation de la part des femmes dans l’écriture de l’histoire au XIXe siècle (10’45)
    • La promotion de Michelet comme grand historien de la IIIe République (13’30)
    • Une figure pas si consensuelle ou simple à commémorer, à droite notamment (18’)
    • Les usages de Michelet en temps de crise : affaire Dreyfus, Grande Guerre, Occupation (22’20)
    • Les coupures historiographiques à nuancer entre histoire romantique, méthodique et des Annales (25’)
    • Les liens personnels et intellectuels entre Michelet et Gabriel Monod (30’05)
    • La distinction souvent faite entre Michelet « historien » et « écrivain » (33’)
    • La « redécouverte » de La Sorcière dans les années 1970 (36’30)
    • Vers une banalisation contemporaine de Michelet ? (41’)
    • Michelet a-t-il des équivalents en Europe ? (47’)

137. Écritures alternatives de l’histoire, avec Axelle Brodiez-Dolino et Émilien Ruiz

Les invité-e-s : Axelle Brodiez-Dolino, historienne au CNRS ; Emilien Ruiz, historien à Sciences Po, membres du comité de rédaction de la revue Le Mouvement Social

Le numéro de revue : Le Mouvement Social n° 269-270, 2019/4, « Écrire autrement ? L’histoire sociale en quête de publics » 

La discussion :

  • Présentation de la revue Le Mouvement Social (1’30)
  • Le thème du numéro : écrire l’histoire autrement (BD, théâtre, blogs…) (3’)
  • La nouveauté des formes d’intervention actuelle des historien-ne-s dans l’espace public (8’
  • En lien avec un contexte qui est aussi politique, avec des usages réactionnaires de l’histoire (10’45)
  • Les questions méthodologiques (histoire comme travail de la preuve), au cœur des enjeux politiques (12’45)
  • Les injonctions paradoxales des institutions et des pairs vis-à-vis des interventions dans l’espace public : encouragées (14’) sans être toujours valorisées (17’30), avec des obstacles notamment juridiques (19’)
  • Le plaisir et l’intérêt de ces écritures alternatives, avec la rencontre d’un public plus vaste (20’30)
  • La notion d’histoire publique, qui permet en partie de poser ces enjeux, mais aussi les problèmes qu’elle pose (22’30)
  • Les questions de statut, de légitimité, de reconnaissance pour les collègues qui tentent ces écritures alternatives (28’)
  • Le rôle du web, des réseaux sociaux, de Wikipedia dans ces évolutions (29’30)
  • Quelle réception de ces pratiques, quelle efficacité, quantitative et qualitative ? (35’)
  • Quelle place pour les émotions dans ces pratiques, et quel enrichissement pour les historien-ne-s ? (38’)
  • La catégorie « histoire populaire » et ce qu’elle dit, par son relatif succès, des écritures alternatives de l’histoire et de leur réception (42’)
  • Qui « nous » lit ? (48’)

Schéma de Lisa Gilbert diffusé sur Twitter puis auprès de la American Historical Association.

Ajout du 28 août 2020:schéma traduit et adapté par André Loez